Sur « VOIRSAVOIR » les INFORMATIONS sont LIBRES …

POURQUOI : VOIRSAVOIR

POUR PARLER ici LIBREMENT, INDÉPENDAMMENT, SANS PUBLICITÉ, de tous LES SUJETS qui PEUVENT AIDER à mieux COMPRENDRE, mieux SAVOIR et donc mieux VOIR ce qui se PASSE vraiment sur NOTRE PLANÈTE … POUR LANCER des S.O.S  . . . – – – . . .  POUR  FOUILLER les CRISES MAJEURES de nos SOCIÉTÉS et ce qui NOUS MÈNENT en fait par LE BOUT DU NEZ . . . – – – . . . POUR DÉCOUVRIR les OPPORTUNITÉS de CHANGEMENT POSITIF à travers la NON-VIOLENCE et la JUSTICE  . . . – – – . . .  POUR mieux MANGER, mieux SE SOIGNER, mieux TRAVAILLER, mieux SE CONNAITRE, mieux VIVRE ENSEMBLE . . . – – – . . .  DES INFORMATIONS LIBRES, pour SAVOIR et ainsi VOIR où l’on MET LES PIEDS, AVOIR ainsi une CONSCIENCE bien plus CLAIRE. 

(les 3 x 3 points-traits  . . . – – – . . . veulent dire en morse  SOS )

 Nous allons côtoyer des êtres bien vivants, des écologistes, des professeurs, des touche-à-tout, des gourmands, des médecins aux pieds nus, des scientifiques chercheurs de solutions pour préserver autant les vivants que la planète, des artistes libres et puis ceux qui soulèvent les voiles des corruptions et des maffias, ceux qui prônent l’Économie de Ponction pour remettre à l’équilibre les dominations des humains sur les humains et sur la nature, ceux enfin qui par le dialogue oral et partiellement e-connecté donnent la main à l’Humanité.                  

 

« Le Thon-Monte » sculpture humoristique de Franck Sotelo (Vaucluse).

ON PEUT COMMENCER PAR CE QUI EST VITAL : LA BOUFFE !  (in le livre : »Tout est possible dans l’assiette » d’Eliette Gensac, édition Lacour).

AU DELÀ DES INTERDITS ALIMENTAIRES mis en pratique par les traditions animistes des peuples premiers, puis par les religions révélées chacune à son tour pour des raisons d’hygiène, de survie, d’harmonisation avec les forces chthoniennes ou célestes, c’est la pression des pouvoirs aux commandes de ces groupes ethniques, puis ensuite des états, qui a toujours tiré sous les nappes, les ficelles des tables mises soit pour les riches ou pour les pauvres. Et cahin-caha, chaque humain s’est plié aux us et coutumes du moment.
L’homme est pourtant un heureux veinard, parce qu’omnivore. Et c’est d’abord sa dentition qui va nous fournir quelques indices : avec 32 dents, dont 20 prémolaires pour broyer graines et céréales, 8 incisives coupantes et 4 canines pour déchirer la viande, les dents permettent à l’homme de s’adapter aux différents climats et bien sûr à tous les aliments. Il peut choisir son alimentation à travers l’éventail de la vie biologique, des animaux, en passant par les minéraux, les végétaux et les bactéries, tout en y ajoutant récemment cette fois, des aliments qu’il a lui-même synthétisés artificiellement. Quel embarras du choix, pour ne pas parler d’embarras gastrique !
 
Une vraie chaîne alchimiquement alimentaire !
Le monde à la petite cuillère !
Et puisqu’il faut manger que deviennent dans notre corps ces aliments que les hommes avaient tant de mal à trouver chaque jour ? Quelle alchimie règne donc en maître dans la chimie des casseroles ?
Selon ce que l’homme absorbe, il l’éliminera  de différentes façons et pour une bonne partie sous forme de gaz carbonique. la qualité de son sang dépendra aussi de ce qu’il aura ingéré.
Un verre de vin provençal de Vacqueyras ou une tasse de thym du mont Ventoux, une fesse d’ours fermentée du Kazakhstan ou un carré d’agneau corse grillé, un loukoum à a rose d’Ispahan, un morceau de camembert normand  ou un fromage de brebis d’Idiazabal en Navarre, font varier la qualité et le volume de son sang. Et de cette qualité de sang, dépendront les qualités des cellules ainsi irriguées et nourries. Le cerveau, puis tous les organes du corps et le système nerveux à son tour, influenceront notre psychisme et nos modes de comportements.
 « Il faut manger de tout, un peu ! » dit le bon sens populaire.
Mais manger quoi, au fait ? Lorsqu’un plat semble délicieux pour nos papilles, il n’est pas forcément bon pour notre organisme.
Par exemple, pour réaliser le vrai et si goûteux jambon de Parme, il faut des vieux cochons bien gras, ce qui implique que leurs graisses soient saturées et bien peu équilibrées pour nous garder en bonne santé.
Si l’on considère l’horrible poulet industriel, lui par contre il est très jeune, riche en eau et non en graisse. Il devrait être tout à fait recommandable pour notre équilibre physiologique, enfin presque, nonobstant sa fadeur qui ruine notre palais et le nombre de manipulations  techniques et dites scientifiques, qui aboutissent à un poulet, dont on ne reconnait que le nom sur l’étiquette !

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