Tout comme le virus de la grippe, l‘Influenza virus à ARN (Acide Ribonucléique), qui évolue en mutant chaque année ses trois types de virus de base A, B et C ; le virus SARS-COV-2 responsable du Covid-19, qui est aussi un virus à ARN, a donc muté en une variante principale : le D 614-G. Cette variante a été détectée dès la fin février 2020, sur plusieurs continents et serait déjà responsable de 85 % des cas infectés dans le monde, à cause de la particularité de sa protéine Spike, un acide aminé intrusif.

En effet, si le virus peut muter, nous aussi on peut muter. Et cette fois POSITIVEMENT !

On trouve aussi sur les pointes visibles du génome du Corona virus Covid-19, une autre protéine, la transmembranaire Neuropiline 1, qui faciliterait l’entrée du Covid-19 dans les cellules humaines.

Mais dans les variantes du Covid-19, on parle aussi du 20A.EU1, découvert en Espagne dès la fin juin 2020, puis en Europe (info re-publiée sur le site MedXriu).

Parmi les souches du SARS-COV-2, il semble que 11 souches ont pu être isolées dans l’est de la Chine (au Zhejiang), avec les identifications de 33 mutations dans le génomes, dont 19 leur sont totalement inconnues.

On parle aussi en septembre 2020, de la souche CLUSTER 5, provenant des élevages de visons au Danemark. Il semble que nos amis les mammifères soient aussi infectés, ainsi que d’autres animaux…

Et l’on peut dire malheureusement, que la liste est loin d’être exhaustive !

Une lueur d’espoir pourtant, en provenance du Canada, l’utilisation du Cannabidiol (un extrait non-euphorisant du cannabis sativa), qui empêcherait l’infection par le Covid-19, en modifiant l’enzyme ACE sur laquelle le virus vient se fixer.