Evidemment ce sont d’abord les industriels qui les ont utilisés, dans les aliments, vêtements, médicaments, cosmétiques et autres matériaux…

Ils ont une norme ISO TS/27687 qui les défini comme étant dans une échelle si minuscule, que leurs propriétés sont radicalement différentes de tous les objets à échelle humaine. D’où différentes toxicités qui touchent la santé humaine en profondeur.

Le règlement européen INCO de 2011 a prévu qu’en 2014, la mention « nano » sera apposée sur la liste des ingrédients des denrées alimentaires… Sauf que le Parlement veut limiter ce champ d’application. « D’ailleurs je serais ravie que l’on me communique des photos de produits où figure la mention : nano. Que l’on puisse enfin les lister exactement ». Le rapport de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (ANSES) précise : »Parmi les effets de certains nanomatériaux sur les organismes vivants, figurent des retards de croissance, des malformations ou anomalies dans le développement ou la reproduction chez des espèces modèles …/… des effets sur le système nerveux central, des phénomènes d’immunosuppression, des réactions d’hypersensibilité et d’allergie ».

A lire : »Nano Toxiques » de Roger Lenglet, édition Actes Sud. Un nouveau scandale sanitaire qui ne dit pas son nom. Extrait et vidéo sur http://www.adequations.org